Seul à Zanzibar 27 : Flash
Il y a eu une légère interruption du service depuis presque un mois.
Malheureusement, ce n'est pas aujourd'hui que je vais pouvoir vous offrir le retour de la newsletter.
Trop de travail, avec tous un tas de projets enthousiasmant et l'envie de lancer et relancer pas mal de choses. Une sorte de renaissance artistique. En tout cas, un gros désir de replonger comme un dingue dans ce que j'avais mis un peu de côté (notamment la bd, après la période sombre post-Section infini).
Bref, ça turbine. Un peu partout. Dans ma tête, comme dans mon environnement. J'ai passé ce qu'il me restait de week-end, ces dernières semaines, à aménager des pièces pour les filles, mais aussi pour ranger mes livres et réaménager mon bureau.
Et puis c'est l'automne.

Miles a l'air de bien s'éclater, dans la vie, non ?
Bienvenue dans Seul à Zanzibar.
Ces dernières semaines, je suis allé me plonger dans le creuset artistique SF que sont les Utopiales, puis je suis allé faire un petit coucou à Robert Smith. J'ai profité de ma visite parisienne pour voir des potes et bosser sur des projets enthousiasmants dont je parlais plus haut. Un bien fou.
Je crois que je suis comme un vampire. Je puise de la motivation et de l'énergie dans les sourires et les discussions avec les copains intéressants.
Pas de liens, cette semaine. Je suis un peu largué sur tous ce qui ne ressort pas de mon boulot immédiat, dois-je avouer.
Sachez que je serai samedi et dimanche prochain aux Toulouse Game Show où je vais sans doute encore pouvoir jouer à Vlad Dracul. Venez me faire coucou.
Ecrivez-moi (comme vous l'avez fait ces dernières semaines), vos messages me portent, même si je ne réponds pas à tout le monde (honte à moi).
Je repars déplacer des cartons de livres. Désolé pour cette livraison rachitique et autocentrée, mais j'avais tout de même envie d'envoyer un petit signal de vie dans l'océan du réseau. Je suis encore là. Plus que jamais.
Restez forts et dignes. Ne vous trahissez pas. J'essaie de faire de même.
Laurent