Seul à Zanzibar 16 : Deadline

Rassurez-vous, je ne vais pas vous prendre beaucoup de temps, cette semaine. 
La raison ? Je n'en ai pas moi-même.
Et ça risque d'être compliqué ainsi jusqu'à la fin du mois. Beaucoup de travail, de choses à rendre dans des délais serrés. 

Mais soyez tout de même les bienvenus dans Seul à Zanzibar. 

Hier, j'étais à Toulouse pour dédicacer Allison chez Gibert. C'était très sympa et il faisait beau dans la ville rose. Excellent déjeuner (des seiches, bon sang) en terrasse avec de vieux copains. On se serait presque cru à Barcelone. 
Barcelone, où Brian Wilson se produisait hier soir. Sans doute la dernière chance que j'avais de le voir. Mais cette année, c'était la Californie ou Primavera, pas les deux. Et même si nous avons déjeuné à Beverly Hills dans le deli où Brian mange tous les jours, nous ne l'avons pas croisé. 
Je regrette un peu de n'être pas au festival, même si après celui de l'année dernière, je m'étais dit que j'étais trop vieux pour ces conneries...

Dans le peu de temps qu'il me reste après le boulot et avant de m'endormir comme une grosse merde chaque soir, il m'arrive de regarder Bosch, la série tv, ou de lire du Michael Connelly (en alternance avec Proust, parce qu'il faut toujours un truc de secours, lorsqu'on lit Proust). 

J'ai entamé un compte-rendu du voyage en Californie sur le blog, mais je n'ai encore rien posté. Je n'ai réussi à qu'à faire le récit de deux jours en un mois. Vous aurez sans doute tout le voyage en 2017. 

Les liens:

- Un chouette article sur les capsules temporelles. 

- Heimlich a sauvé quelqu'un avec la technique qu'il a inventé. Pas trop tôt, gros. 

- Les vrais fans de comics connaissent Louise Simonson. Les autres ne vont pas tarder. 

- La mythique strat bleue de Bob Mould. Un entretien sur son travail de guitariste. 

- Une chasse au trésor lancée il y a un bail, par Byron Preiss.

Je ne garantis rien, pour la semaine prochaine. Je vous avais prévenu, hein, j'aurais du mal à tenir le rythme longtemps. 

Soyez forts. Soyez bons. N'abandonnez pas. Je vous embrasse sur le front.

Laurent